Sous ces couloirs aux carreaux scintillants se trouvaient les chambres, sur plusieurs niveaux, qui s’enfonçaient loin dans la terre. Dans chaque chambre se tenait un être humain, en train de manger, de dormir, ou de produire des idées. Et c’était là, profondément enfouie dans cette ruche, que sa propre chambre l’attendait.

— E. M. Forster, La Machine s’arrête, (trad. Laurie Duhamel)

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