Boz souriait. Demain, il apporterait à Commons de quoi lire, des journaux et ce roman dont je t’ai parlé. C’est l’histoire d’un type apathique, oui, amorphe, toujours couché. En dehors de l’amour, rien ne l’intéresse, mais, par paresse, il ne choisit pas la femme qu’il aime, il préfère épouser sa logeuse, c’est la solution de facilité.
— Comment s’appelle ton type, demandait Commons.
— Oblomov, répondait Boz. Il est russe. L’histoire se passe en Russie.
— Christian Garcia, l’Été, deux fois