Enfin, je suis seule. Helenka ne vient pas aujourd’hui. J’aspire au calme idéal, à la douce inactivité, j’espère qu’aujourd’hui, rien ne se produira, que personne ne viendra nous embêter. Je m’efforce de ne pas regarder la télévision qui est dans ma chambre, pour ne pas m’énerver. Ces meurtres, ces guerres, ces haines, ces catastrophes m’épuisent complètement.

— Tecia Werbowski, l’Oblomova (trad. Élisabeth Destrée-Van Wilder)